Le Vendée Globe souhaite utiliser la puissance médiatique de l’événement pour sensibiliser le public, tout au long du parcours de la course autour du monde, à la préservation des océans. En parcourant la planète à la voile, les marins du Vendée Globe mettent en lumière la fragilité de notre océan face au réchauffement climatique. Ils sont les témoins directs des changements en cours, notamment autour de l'Antarctique, une région particulièrement menacée.
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Brèves en continu
- « Je suis l’homme le plus heureux au monde ! »
- Nuit compliquée pour Sam Davies
- Gréement sécurisé pour Paul Meilhat
- Nouveau problème de hook pour Benjamin Ferré
- Vendée Live : Rendez-vous à 12h30 sur le site, Youtube ou Facebook pour suivre le Vendée Live du jour avec Raphael Dinelli et Romain Attanasio (Fortinet)
- ETA des prochains bateaux
- Temps de passage à l'équateur (retour)
À la une
Une dépression va nous accompagner à partir de cette nuit jusqu’au cap Finisterre. Dans un premier temps, on aura des vents très forts et une mer très formée. Il n’y a pas vraiment d’échappatoire : si on ralentit, on va se prendre la dépression suivante… Il n’y a pas vraiment de solution. Je vais me gratter la tête à défaut de m’arracher les cheveux, parce que j’en ai plus !
Mobilités douces
L’aventure Vendée Globe ne débute pas aux Sables d’Olonne ! Elle débute de chez soi, en empruntant un moyen de transport décarboné pour se rendre sur le village de course. L’organisation a mis en place une commission mobilité afin de réunir tous les acteurs publics et privés concernés et proposer des solutions de mobilité douce pour se rendre sur le village