Après avoir informé son équipe et la direction de course de cette avarie, il s’est attelé à réparer en « tenue de chantier » (gants, combinaison, lunettes de sécurité), le tout dans un passage de front avec 5 mètres de vagues et des rafales à 45 noeuds. Grâce à un tuyau de rechange, il est parvenu, malgré les conditions dantesques, à changer la durite. Vers 16h30, il a pu enfin constater que la quille était à nouveau en marche. Une surveillance accrue est de mise.
Au classement de 15 heures, Sébastien Marsset était 25e et faisait partie du groupe pointant au Nord de la dépression australe qui a accaparé une grande partie de la flotte.
La vidéo complète des réparations :