Dernières actualités et médias
ETA des prochains bateaux
Stratégies en zone de turbulence
Comme un cadeau de dernière minute – et pas du genre sympa – la météo a décidé de jouer les trouble-fêtes dans cette fin de Vendée Globe pour Jérémie Beyou (Charal) et sa petite bande. La dépression, qui les a secoués comme des cocotiers bien mûrs ces dernières heures, file désormais vers Lisbonne…
C'est les soldes !
Sébastien Marsset : « j'ai poussé quelques cris »
Benjamin Dutreux : « Avec Boris, j’avais l’impression de tirer sur un animal blessé »
Une mer comme ça, on a plutôt l'habitude de la voir quand on se balade en famille à la pointe de la Bretagne, pas en étant sur l'eau. Ça fait plus de 70 jours qu’on est en mer, et le stress, ce n’est pas qu’on y soit totalement habitué, mais on s’en accommode. Mais là, ça rappelle vraiment l’océan Indien !
Que tu sois premier ou dernier, le cap Horn reste un passage important pour tout le monde ! Même si ce n’est pas la première fois, on ne peut jamais s’en lasser. Je commence déjà à scruter l’horizon pour voir si j’aperçois les montagnes !
Je suis très confiant quant à la qualité de ma réparation d’étai de J2. Je peux dormir tranquille. La technique, c’est une de mes spécialités !
Damien Seguin : « ça zigzague beaucoup »
Vent de folie
Il y a de quoi perdre un peu l’esprit, quand on voit les variations auxquelles nos marins sont soumis depuis leur départ voilà deux mois et demi. Seuls dans leur petite boîte de carbone, l’esprit divague face aux vagues, et il faut se raccrocher à la réalité avec tout ce qu’il leur reste de…
Temps de passage à l'équateur (retour)
Une aventure aux mille visages
Sur le Vendée Globe, les marins vivent un véritable ascenseur émotionnel et climatique, où les conditions changent aussi vite que les latitudes. Aujourd'hui, les écarts sont saisissants : certains approchent du mythique cap Horn, ultime porte de sortie du Grand Sud et de son atmosphère glaciale…