Dernières actualités et médias
ETA des prochains bateaux
Je ne vois plus Jérémie mais il y a une heure, il était encore un mille derrière moi !
Raphaël Dinelli : « Des évolutions énormes et très positives »
L’ANALYSE DU DIMANCHE. Raphaël Dinelli s'est illustré en participant à quatre éditions consécutives du mythique Vendée Globe entre 1996 et 2008. Malgré les défis extrêmes de cette course en solitaire autour du monde sans assistance, il a montré une persévérance exceptionnelle, terminant en 12ᵉ…
C'est les soldes !
Un casse-tête sans solution
Sur le Vendée Globe, il y a des moments où la mer semble se moquer des skippers. Et là, c’est exactement ça : une grosse dépression se pointe, et chaque option ressemble à un piège bien ficelé. Jouer la carte de l’Est vers Madère ? Vous voilà parti à tirer des bords dans 35-40 nœuds au près. Autant…
Perte de grand gennaker pour Oliver Heer
Mission accomplie pour l'océan
Dans le cadre du partenariat entre l’UNESCO et la Classe IMOCA, 25 skippers avaient embarqué des instruments scientifiques au départ du Vendée Globe. Le dernier instrument, une balise Argos Marget II, a été déployée par Clarisse Crémer juste après l’équateur, il y a 3 jours.
Une dépression va nous accompagner à partir de cette nuit jusqu’au cap Finisterre. Dans un premier temps, on aura des vents très forts et une mer très formée. Il n’y a pas vraiment d’échappatoire : si on ralentit, on va se prendre la dépression suivante… Il n’y a pas vraiment de solution. Je vais me gratter la tête à défaut de m’arracher les cheveux, parce que j’en ai plus !
Violette Dorange : « La montée au mât, c’était un cauchemar »
Affronter l’invisible
Dans le Vendée Globe, la peur est comme un passager clandestin. Elle s’embarque discrètement dès le départ, planquée sous les voiles ou dans un recoin du cockpit, et surgit pile au moment où on s’y attend le moins. Une vague plus grosse que les autres ? Elle est là. Une rafale à 50 nœuds ? Elle…
Atlantique Nord : l’ultime défi
Une dépression pas piquée des hannetons, avec une pression de 950 hectopascals, s’installe sur la route du groupe allant de Jérémie Beyou (Charal) à Samantha Davies (Initiatives-Cœur). Ce système, qui pourrait bien être le plus imposant de tout le tour du monde, génère des vents atteignant 50 nœuds…