Dernières actualités et médias
ETA Charlie Dalin (MACIF Santé Prévoyance) le 14 janvier entre 5h30 et 9h30
Charlie Dalin en approche des côtes bretonnes
C'est les soldes !
Charlie Dalin : « C'est comme quand on part en vacances, c'est toujours le dernier kilomètre qui semble le plus long! »
Hier c’était soleil et glisse, j’ai « pêché » mon premier poisson volant depuis bien longtemps et avalé les milles. Depuis cette nuit l’ambiance a bien changé : j’ai l’impression d’être tombée dans le Pot-au-Noir. Les grains s'enchaînent et le vent oscille entre 10 et 30 nœuds. Le bateau a été rincé de fond en comble et moi aussi je suis un peu rincée. Il va falloir de la patience parce que ça va durer un peu.
Charlie d'assaut !
Voilà, cette fois on y est. Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, mais aussi le ponton des Sables d’Olonne vu la vague de froid attendue, on devrait connaître le nom du vainqueur de la dixième édition du Vendée Globe... sauf si Victor Hugo avait prévu une strophe de plus en cas de…
Temps de passage à l'équateur (retour)
Un abandon, un sprint, une journée à haute intensité
Ils ne sont plus que trente-quatre concurrents du Vendée Globe à continuer, coûte que coûte, à se rapprocher de l’arrivée et à grappiller des milles. Ce dimanche, Éric Bellion (STAND AS ONE – Altavia), confronté à la casse de l’axe d’étai de J2 et soucieux de se préserver face aux fortes conditions…
Desjoyeaux : « le vainqueur ? Celui qui fera le moins d’erreurs ! »
Il est le seul marin de l’histoire à s’être imposé à deux reprises au Vendée Globe (2000-2001 et 2008-2009). Il a popularisé une exigence, une ténacité et une expression aussi, « au Vendée Globe, il y a une emmerde par jour ». Michel Desjoyeaux conserve un regard aiguisé sur la course. Il évoque…
Les dernières heures de course ont été plutôt agréables. Le vent adonne, ça me permet d’utiliser d’autres voiles que le J3, ce qui est bien. J’ai été un peu moins rapide que les premiers du groupe, il y a eu un décalage qui leur permet d’avoir un meilleur angle pour avancer. On va essayer de trouver le meilleur passage pour traverser le pot-au-noir et j’espère qu’on va se rapprocher de deux qui sont devant. Je ne lâche pas, j’essaie de trouver les meilleures configurations pour remonter. Tout est encore possible, je ne perds pas espoir !
Je suis vraiment fier de ce qu’on est en train de réaliser. Il y a beaucoup de sacrifice, beaucoup d’envie, beaucoup d’énergie… Ces derniers jours, j’ai l’impression d’oublier tous les moments durs que j’ai pu vivre sur ce Vendée Globe. Tout est passé à une vitesse folle. Je me rappelle du départ comme si c’était hier, j’ai l’impression de m’être téléporté ici. L’humain a tendance à ne se souvenir que des bonnes choses !