Dernières actualités et médias
ETA (Estimated Time of Arrival) des premiers skippers entre le 14 et le 15 janvier
Collection officielle Panini
Dans la vie d’un marin, on pleure trois fois : quand on achète un bateau, quand on passe le cap Horn et quand on vend son bateau.
La lucidité, pilier de la performance et de la survie
Il s’agit d’une nécessité impérieuse au large et d’un défi constant, surtout après plus de 55 jours de compétition. Rester lucide, conserver sa concentration au maximum pour résister aux aléas, garder les bons réflexes, être bien dans sa course et ses bottes, sont des aspects primordiaux pour les…
Arnaud Boissières : « On est un paquet de bateaux ensemble, ça fait une belle émulation »
En bande organisée
En tête de course, Charlie Dalin (MACIF Santé Prévoyance, 1er) devrait passer l’équateur dans une dizaine d’heure, lui qui bénéficie toujours des alizés comme son rival, Yoann Richomme (PAPREC ARKÉA, 2e). De son côté, Alan Roura (Hublot) est devenu le 17e skipper de ce Vendée Globe à franchir le…
La bataille de l’ombre
Charlie Dalin (MACIF Santé Prévoyance, 1er) et Yoann Richomme (PAPREC ARKÉA, 2e) continuent d’accélérer et devraient franchir l’équateur ce dimanche après-midi. Sébastien Simon (Groupe Dubreuil, 3e) va lui aussi pouvoir augmenter la cadence ce soir. Mais c’est derrière que la bagarre est plus…
J’ai mon safran qui me parle derrière et me dit « Grouaack ! » Une sorte de langue de crapaud que je comprends très bien, qui veut dire : « Mec, si tu tires plus, je ne vais pas finir le tour alors attends d’en finir avec le portant pour pouvoir ré-accélérer stp ! » Blague à part, là ça fait vraiment du bruit. C’est flippant, mais ça va tenir ! J’ai confiance, et je ne vais de toute façon pas jouer avec le feu dans cette mer forte à l'approche du cap Horn !
Nicolas Lunven : « Je me croirai dans la marmite d'une sorcière »
Les conditions sont musclées, instables, la mer est croisée… Ce n’est pas facile de faire avancer le bateau et sans aérien, c’est encore plus aléatoire. Le bateau commence à être bien amoché, je n’ai pas de gros soucis mais une somme de petits problèmes. Dans les prochaines 24 heures, on va avoir un front semi-permanent qu’il faudra traverser. C’est plus facile à dire qu’à faire parce qu’il y a du vent faible et des risques d’orage. Il s’agit d’une zone de transition qui peut réserver des surprises et rebattre les cartes.