Dré dans l’pentu !
La flotte du Vendée Globe a profité de la troisième nuit de course pour chausser les skis, et se lancer tout schuss dans une grande descente le long des côtes portugaises, dans un vent encore soutenu. Non sans quelques frissons au passage !
Cap Finisterre amer
Après un début de course plutôt paisible, la flotte s’est confrontée à des conditions particulièrement virulentes au passage du cap Finisterre, de quoi causer quelques avaries et pas mal de sueurs froides. Sam Goodchild (VULNERABLE) en a profité pour prendre la tête de la course en milieu de…
Maxime Sorel touché à la cheville
« J’ai l’impression que ce sont les premières heures d’un randonneur avant de gravir une montagne géante »
« Au sujet de mon choix de route de cette nuit : j'avais envie de faire quelque chose de simple, j'étais pas très à l'aise avec l'idée de passer à l'intérieur du DST du cap Finisterre avec le trafic côtier, pas mal de vent et de la mer, à faire des empannages. Je préférais faire une route simple, quitte à perdre un petit peu. Malheureusement j'ai eu un petit souci de safran hier soir, le palonnier s'est arraché, il a fallu bricoler, j'ai perdu un peu de temps. »
Alan Roura : « C'est très dur d'aller dehors »
Une voie d’eau à bord pour Thomas Ruyant
Gourde officielle du Vendée Globe 2024
Sébastien Marsset : « J'ai fait un gros départ au tas »
La sueur au (premier) front
LA DEUXIÈME NUIT. On les avait quittés en fin de journée encore relativement bien rangés, dans un peloton compact mené à vitesse grand V par un lièvre à l’endurance d’une tortue. On les retrouve au petit matin, éparpillés façon puzzle par le casse-tête nocturne imposé par un Cap Finisterre à la…